Freedom, at last
M. hier, S. aujourd'hui, C. demain... Je vois du monde, je me sors le nez de chez moi et de mes fiches en tout genre, je me maquille même le matin : je revis ! Même pas malade, même pas mal vécu le concours blanc, même pas fatiguée (enfin si, mais ça va se régler rapidement), le bonheur 3 en 1. C'est ausant, je me suis laissée aller au jeu du mini sondage en khâgne moderne : "et toi, tu fais quoi pour fêter la fin du concours blanc ?". Les réponses sont assez variées (ça va de "lire Elle sans culpabiliser" -classe de gonzesses oblige- à "m'épiler enfin" -gasp), mais il y en a une qui revient sans cesse : "dormir". Sans vouloir paraitre en pleine crise d'adolescence, la perspective de ne pas me lever à 6h30, ouvrir The Economist ou une copie double pendant les deux prochaines semaines me ravit au plus haut point. Donc : dodo, bouquins (je vais enfin pouvoir poursuivre mon exploration de l'oeuvre de Roubaud, me plonger dans mes Gary d'anniversaire et découvrir Kerouac, il serait temps !), dodo, profiter de L. qui part le 27 (qu'elle ne le prenne pas mal, au contraire, ça va faire un gros vide), films, dodo, collages, dodo, musée, dodo, cours de cirque, dodo, voyage en Autriche... Comme dirait la prof de français, ce sont vos dernières vacances avant le concours, profitez en pour relire les oeuvres au programme. C'est cela oui...