Brèves (ensoleillées)
Jardin linguistique. J'ai emmené Pierre Cotte dans mon sac, par acquis de conscience plus que par bravoure, en pensant que son Explication Grammaticale -opaque comme elle est- me servirait d'écran total dans mes moments de désœuvrement ensoleillé. Sur le toit de la gare Montparnasse, on est plus proche du soleil. Et voilà mon Cotte qui me semble clair, lumineux même. Un bon Cotte est un Cotte lu au Jardin Atlantique.
(Ces lignes ne sont pas tout à fait de moi ; ma muse a un nom, je le tais et je l'embrasse.)
Le lilas fleurit partout, c'est joli et ça sent bon, je me lève le matin, je bosse plus, je fume moins, j'ai les yeux gris, il ne fait pas encore trop chaud pour que je rumine mon traditionnel "et dire que je pourrais être dehors au lieu de bosser sur mon pc...". Je vais bien.